Lovejoyce AMAVI

Vision

l’utopie est une vision qui n’a pas encore été réalisée

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Qu’un jour, dans de prochaines générations certainement, le continent africain soit rétabli dans la vérité de l’histoire et que ses plaies soient guéries. D’ici là, nous devons agir à faire en sorte de contribuer à l’avènement d’un monde équilibré où le pouvoir et la force sous toutes leurs formes servent à régler les inégalités. Ce n’est pas idéaliste. C’est bien possible.

Parce que tant qu’il y aura des injustices il y aura de la violence. L’injustice elle-même est une violence exercée sur les plus faibles qui finissent par s’opposer et se défendre. La violence est partout depuis que des civilisations guerrières et conquérantes ont envahi successivement des territoires qui n’étaient pas les leurs et se sont imposées. Elle transparaît aujourd’hui dans ces nouveaux territoires planétaires que sont les réseaux sociaux, qui font fructifier des propos et des actes condamnables au gré de leurs algorithmes, tout en diffusant indûment une perception tronquée de la réalité pour promouvoir le consumérisme.

Dans  un de mes billets de blog Le syndrome du rétroviseur, j’écrivais :

Les réseaux sociaux, nouveaux maîtres pour les esclaves que nous sommes, nous enjoignent chaque jour de donner l’impression que tout va bien et que tout est bien. C’est cela le virtuel : la vie hors du réel. Cette vie qui prend le pas sur nos vraies conditions d’existence, nous ayant transformés en simulateurs invétérés de situations plus fausses les unes que les autres, à la poursuite d’instants de consommation érigés à la gloire du capitalisme. Dépenser, ne plus penser, jouir jusqu’à la lie, se confronter aux autres plutôt que de les conforter, être plus prompt à « liker » une publication d’un « ami » plutôt que de s’enquérir vraiment de son bien-être. »

Je ne suis pas un doux rêveur, enfermé dans une bulle. Je suis sorti de chez moi, je suis sorti de mes zones de confort tellement de fois et j’ai rencontrés des gens assez divers pour être aujourd’hui convaincu que la bienveillance est possible si on le veut et si on décide d’arrêter les compétitions malsaines souvent nourries par nos propres angoisses générées par nos lacunes. Chaque jour j’essaie de démontrer avec mon expérience, mon parcours, mes propos et mes écrits qu’on peut se dépasser et œuvrer à plus de paix et de justice. Les leviers du changement doivent changer de mains, doivent surtout changer demain. Car il est temps! Mettons-nous à l’ouvrage.

 

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