Lovejoyce AMAVI

Citations

liste de quelques pensées et idées issues de mes écrits

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Citations

Je suis ce roi, le seul sans doute, qui exècre les hypocrisies et les boniments ! Les flatteries sont pour moi flatulences ! Je ne me repais que de conseils avisés qui me permettent d’avancer ! Merci de m’en donner !

Le bonheur a cette insuffisance innée qui le rend inaccessible.
A quoi sert-il alors de courir après le bonheur, pour ne finalement pas l’avoir, quand on pense l’avoir eu?

Lorsque nos vies semblent vides, et sans projet concret, que la routine altère jusqu’au souci de notre propre bien-être, la responsabilité de nous-mêmes nous échappe.

La justice humaine ne peux être impartiale, les hommes ont du mal à l’être, l’intérêt, la cupidité, la subjectivité des opinions, la loi du plus fort, ne peuvent en aucun cas permettre l’émergence de la vérité vraie, ni autoriser que certains, qui disposent de la force et du pouvoir de leur côté, soient inquiétés pour leurs actes.

Qui veut commettre des crimes plus loin, ménage sa signature

Mais la réalité profonde de la situation africaine est de ne pas s’assumer, de toujours chercher recours auprès de certaines puissances, politiques et économiques qui, pour des raisons intérieures, les soumettent à des accords internationaux.

C’est bien de vouloir se sevrer, encore faut-il savoir se nourrir soi-même.

Vous savez, en Afrique, continent de presque non droit, élève paresseux dans la classe universelle de la démocratie, la fonction de « Première Dame » est un mythe.

Si l’hypocrisie n’était pas de ce monde, comment Valérie Trierweiller s’étonnerait jusqu’à la syncope, du comportement infidèle et délictueux de François Hollande ?

Je l’apprécie bien, en président décoincé, rondouillet, qui rote entre deux phrases des restes de repas qui refluent, cela me permet de voir que ce ne sont pas des surhommes qui dirigent nos états et que ce sont des humains avec des faiblesses normales, n’est-il pas le président normal ?

Pour moi, la mode au masculin se conjugue au conditionnel féminin : think like a girl, act like a man. Cette mode est séduction, stricte, classique, col blanc, revisitant s’il le faut l’histoire du vêtement, celui qui sied le plus, à nos natures mortes sans lui, celui qui révèle notre personnalité et la met en valeur, qui donne du crédit à nos postures émotionnelles, celui qui plaît aux filles (Think like a Girl)
L’habit ne fait pas le moine ? Non il fait mieux ! Il l’identifie.
Dans cette profusion de mauvais goûts et d’attentats réguliers à la franche élégance, la mode, la vraie, tout en s’abstenant de subir le diktat impitoyable de créateurs, illuminés les uns que les autres, s’inscrit dans une régularité juste.
Ce ne sera que lorsque le citoyen, en conflit avec son quotidien, sera rassuré sur son avenir, qu’il dépassera ses émotions et qu’il se mobilisera pour travailler à cet avenir.
Les populations n’ont pas, à se rendre compte par eux-mêmes et à se faire une opinion, l’administration elle, doit rendre compte de son action et mobiliser l’opinion nationale en sa faveur.
Le piège avec la démocratie, est qu’elle a en face deux formes de vie sociale encore plus effrayantes : la Dictature et l’Anarchie.
Au-dessus de tout attachement politique, partisan par essence, doit prévaloir l’attachement à la patrie qui doit transcender nos choix et transparaître de nos décisions.
La démocratie occidentale a besoin de se nourrir de la misère en Afrique. Elle n’a pas le choix ! Elle a l’obligation de garantir le Droit, la Liberté et la Justice en occident, fut-ce au prix de l’injustice, de l’oppression et de la pauvreté en Afrique et ailleurs.
Ce n’est pas parce qu’une idée a si longtemps été admise comme vraie, enseignée, imposée, qu’elle est la vérité.
Aucune action politique n’est valable, que si elle garantit le bien-être des citoyens.
La réduction de la pauvreté ne passe pas seulement par des réunions, conférences, schémas et graphiques ! Elle passe d’abord et surtout par le rapprochement des politiques et des citoyens, par ainsi, une connaissance réciproque des contextes et des conditions des uns et des autres, pour une marche collective, celle qui crée l’harmonie et la paix.
Il est de la responsabilité des défenseurs de la démocratie d’apprendre à la masse, qu’il n’y a pas de liberté sans respect des règles. Il n’y a pas de vie sociale qui ne repose sur des lois et sur des règlements. La liberté d’expression est souvent brandie, pour excuser des actes inciviques et injurieux de la part de beaucoup de nos compatriotes. L’espace public, ouvert et libre, ne doit pas permettre l’expression sans gêne et sans contrôle.
Un Chef d’État, élu ou en situation de l’être, ou il bénéficie d’un ancrage populaire et national forts, ou il s’appuie sur un appareil politique puissant, lequel d’ailleurs lui confère l’ancrage nécessaire.
Il y avait tellement d’alcool dans l’air que vous faisiez craquer une allumette, vous obtenez de suite un « pogrom » !
Si la médiocrité prend autant et toujours désormais, le pas sur la vertu, comment espérerions-nous régler les problèmes de notre siècle ?
Plus un mensonge est répété plusieurs fois et sur une certaine durée, plus il a de chances de se muer en vérité ! Et parce que l’habitude est une seconde nature, il suffit de créer l’habitude pour créer la nature !
Je fustige cet immobilisme qui bloque l’ascenseur social dans notre pays et qui nous a longtemps sacrifiés à l’autel du parti unique et d’une politique inique qui ne laisse de chances qu’à une minorité.
Dans le désert de notre vie où nous sommes plus préoccupés de futilités que d’utilités, nous sommes aveugles de ne pas nous attacher aux choses essentielles. Pourtant c’est souvent de ce désert, que nous connaissons tous notre chemin de Damas, qui nous mène à Dieu, qui nous guérit alors de notre aveuglement !
Chercher à édifier les autres sur la Foi et sur Dieu, c’est participer activement à une paix sociale, de ce que les vrais sentiments de Dieu sont porteurs d’harmonie, de cohésion et de paix. Un vrai serviteur de Dieu, quel que soit son choix de religion ou de culte, est tolérant par rapport au choix de l’autre sans le partager.
Notre envie de possession et de contrôle sur nos destinées sont de telles forces qu’elles nous obnubilent souvent, au point de perdre de vue l’essentiel.
Cet ordonnancement précis qui est celui du monde qui nous entoure, présuppose en lui-même une régulation et une loi immuables.
Que nous est-il demandé à nous, êtres humains, à qui à l’évidence tout est donné gratuitement, sinon d’obéir aux dispositions naturelles des choses.
La maîtrise de nos voix intérieures induit celle des paroles qui sortent de nos bouches.
Silence ! le monde est un tumulte permanent parce qu’il a perdu de vue l’essentiel : le chemin du retour à l’éternité. L’attraction terrestre est comme du plomb à nos pieds et nous garde prisonniers depuis la prévarication du premier homme. Faisons silence face à tous ces bruits autour de nous et concentrons-nous à retrouver le circuit qui nous ramène au-dessus de ces futilités. Le bruit intérieur de notre chair, qui est insatiable et constamment insatisfaite est assourdissant et empêche la voix de Dieu qui veut nous guider. Silence

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