La ville est triste des amours éconduits. Dans les nuits froides de l’indifférence, L’Hiver glacé et le gel qu’il produit, Nous a perdus dans le labyrinthe de l’errance. Les oiseaux marins qui annoncent le printemps, Ont perdu la voix et leurs âmes en chantant, Les mélancolies et le blues enchantants, Qu’on aurait aimés… Poursuivre la lecture La Loge du Souvenir