Lovejoyce AMAVI

Sur les pas d’Adèle (12)

La chair et le péché sont un couple inséparable. Une sœur et un frère siamois que seule la chirurgie mystique d’une vie spirituelle difficile, arrive à séparer. Et encore, il faut veiller les yeux ouverts, une huile non-évaporable dans le lampion, pour s’assurer que jamais ces deux compères ne se rejoignent à nouveau. Le magnétisme… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (12)

Sur les pas d’Adèle (11)

Le chagrin est un virus de l’esprit qui remplit le corps d’une toxine dont on semble ne jamais pouvoir se débarrasser. Il vous donne l’impression que de la lave coule dans vos veines et que votre cœur est pressé dans un étau puissant et vos muscles cardiaques se contractent jusqu’au bord de l’explosion. Dans vos… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (11)

Sur les pas d’Adèle (10)

Maître Inès Deauville n’est plus une lève-tôt. Il est loin le temps où elle devait se lever aux aurores pour s’occuper de la maison, des enfants et arriver au travail assez tôt pour enchaîner des audiences et des rendez-vous à n’en plus finir; tandis que son fainéant de patron Maître Legault faisait ce qui lui… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (10)

Sur les pas d’Adèle (9)

En se réveillant dans le divan du salon où elle s’était recroquevillée en rentrant de son tour de taxi, Adèle se souvint de John, première image à son esprit aussitôt qu’elle ouvrit les yeux. Elle avait pourtant tout fait pour le fuir, éviter de tomber dans son piège parfait d’une vie rangée sans stress, un… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (9)

Sur les pas d’Adèle (8)

Le goût de l’alcool de la veille sur la langue au réveil, les yeux qui s’ouvrent difficilement parce que la tête donne l’impression d’avoir doublé de volume, les membres endoloris parce que mal couché, le sang n’a pas circulé partout, et les neurones qui s’activent en folie pour situer où vous êtes, ce que vous… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (8)

Sur les pas d’Adèle (7)

John s’est assis l’esprit embrumé. Un peu d’alcool certainement, mais la confusion et la colère en plus. Qu’est ce que cette têtue d’Adèle ne comprenait pas. Il l’aimait pourtant et c’était indéniable. Il n’était plus lui-même en sa présence. Il la regardait et il voulait que tout son univers soit elle, autour d’elle, dans ses… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (7)

Sur les pas d’Adèle (6)

« Je ne suis qu’une poussière du paradis dans ta vie ». C’est comme ça qu’Adèle répondait en souriant, à John lorsque celui-ci lui disait qu’il avait trop de chance de l’avoir. Modeste mais pas trop. Lui il rigolait à cette petite blague de son amoureuse et il lui répondait  qu’il était définitivement accroc à cette sorte… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (6)

Sur les pas d’Adèle (5)

Quand on s’assoupit dans un sofa le sommeil est si profond que l’on ne se rend compte de l’inconfort subi, qu’au réveil, quand cette douleur au cou et au dos, vous fait regretter de n’avoir pas eu la force d’aller dans un lit confortable, comme par exemple il en existe dans des hôtels luxueux. John… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (5)

Sur les pas d’Adèle (4)

Le hall de l’hôtel Crillard de Monaco était froid. A la climatisation s’ajoutait l’ambiance glaciale entretenue par le pianiste et ces notes froides et sans âme, qu’il jouait, perdu dans les gestes cadencés de ses doigts frétillants sur le clavier du vieux piano du hall. L’amertume de John n’arrangeait certainement pas les choses. Depuis le… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (4)

Sur les pas d’Adèle (3)

Toutes les histoires d’amour deviennent ennuyeuses, lorsque le temps de la conquête est passé, temps où l’homme, le plus souvent, invente des scénarios pour convaincre la femme de lui céder, et celle-ci, cédant plus au jeu, invente des excuses et des hésitations fantasques pour faire durer le plaisir d’être désirée. Il semble que s’installe lorsque… Poursuivre la lecture Sur les pas d’Adèle (3)